Princesse, suite
Mais printemps oblige, aux petits pois cette fois.
En fait, c'est la tunique de toutes les hontes .
Coupée l'an dernier en même temps qu'une tunique pour Haïti jugée prioritaire.
Oubliée dans un coin , enfin sous une pile d'encours.
Retrouvée et une envie de petits pois toujours intacte pour la mère et la fille.
Une tunique du coup un peu étroite, la taille 140 aurait été parfaite pour l'an dernier.
J'ai décidé de compliquer un peu les choses en cousant un passepoil autour de l'empiècement.
J'ai du zapper une étape pour la fermeture dos, donc j'ai improvisé quelque chose.
Et la honte de ma vie pour l'ourlet des manches : j'ai piqué la coulisse pour élastique comme prévu, de 1 cm de largeur. Mais étant en panne d'élastique, j'ai coupé dans la largeur celui que j'avais . Et là, croyez moi si vous le voulez : j'ai cassé au moins - épingles à nourrice, coincées dans la coulisse un peu étroite. Les épingles s'ouvraient dans la coulisse, me piquaient cruellement le doigt, se tordaient et se cassaient en plein milieu de la coulisse . Il a fallu découdre à chaque fois la coulisse, recommencer et échouer à nouveau . J'en pleurais de rage ! Saleté d'épingles de zut.
J'ai acheté cet après midi des épingles plus solides et c'est rentré comme dans du beurre . Mais à force de coudre, découdre et recoudre, la couture est dans un triste état .
Je déteste les élastiques !
Et en plus, j'ai perdu les boutons achetés exprès pour, des petites sphères blanches .
Et bien sûr, la tunique n'ira que pour ce printemps, trop étroite .
La honte.
Mais Nénette est ravie de ses pois, et aussi de ses sandales havraises ... Merci encore Hélène ...
Modèle de Burda, août 2009 en taille 140 .